6ème rue à gauche en quittant le CEG Zogbo, juste à côté de l'école publique de D et E
Fifadji
Cotonou - 229 - Bénin
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Après un quart de siècle d’expérimentation du libéralisme économique adopté par notre pays le Bénin, sa situation socio – économique ne donne pas sufisamment d’espoir. Notre société, en dépit de la facette relativement heureuse qu’elle présente et malgré les efforts consentis, a toujours du plomb dans l’aile. Le pouvoir d’achat de la population connait une érosion prononcée. Avec la mondialisation, tout prend de l’ampleur, de nombreux changements s’observent dans les secteurs considérés comme les plus vitaux.
Au Bénin, la pauvreté reste endémique et fait languir avec plus de 35% de la population. La jeunesse, facteur qui constitue la garantie d’un avenir plus reluisant a du mal à trouver ses repères. Le taux de chômage demeure inquiétant et sa courbe ne fera que croitre jusqu’à l’horizon 2030 si nous n’agissons pas maintenant. Fort de cela, tout citoyen soucieux du devenir de ce pays doit s’interroger sur ce qu’il convient de faire et ce qu’il peut faire pour renverser la tendance.
Pour plusieurs chercheurs et penseurs, il existe un point important par lequel toute nation peut amorcer son développement : c’est l’éducation. « Après le pain, l’éducation est le premier besoin d’un peuple » a dit Georges Jacques DANTON.
Aujourd’hui, l’éducation est plus qu’un métier, c’est une mission qui consiste à aider chaque personne à reconnaitre ce qu’elle a d’irremplaçable et d’unique a n qu’elle grandisse et s’épanouisse. A l’heure où la politique a montré ses limites et où les grandes idéologies se sont effondrées, l’éducation de la jeunesse doit être repensée autrement et ne doit plus, à terme, se substituer à un diplôme, qui en réalité n’est qu’une présomption. Elle doit être axée sur de véritables moteurs d’apprentissage, faisant de l’apprenant maître d’un domaine et débouchera à coup sûr sur un savoir-faire irréprochable et un emploi sûr et certain.
Après un quart de siècle d’expérimentation du libéralisme économique adopté par notre pays le Bénin, sa situation socio – économique ne donne pas sufisamment d’espoir. Notre société, en dépit de la facette relativement heureuse qu’elle présente et malgré les efforts consentis, a toujours du plomb dans l’aile. Le pouvoir d’achat de la population connait une érosion prononcée. Avec la mondialisation, tout prend de l’ampleur, de nombreux changements s’observent dans les secteurs considérés comme les plus vitaux.
Au Bénin, la pauvreté reste endémique et fait languir avec plus de 35% de la population. La jeunesse, facteur qui constitue la garantie d’un avenir plus reluisant a du mal à trouver ses repères. Le taux de chômage demeure inquiétant et sa courbe ne fera que croitre jusqu’à l’horizon 2030 si nous n’agissons pas maintenant. Fort de cela, tout citoyen soucieux du devenir de ce pays doit s’interroger sur ce qu’il convient de faire et ce qu’il peut faire pour renverser la tendance.
Pour plusieurs chercheurs et penseurs, il existe un point important par lequel toute nation peut amorcer son développement : c’est l’éducation. « Après le pain, l’éducation est le premier besoin d’un peuple » a dit Georges Jacques DANTON.
Aujourd’hui, l’éducation est plus qu’un métier, c’est une mission qui consiste à aider chaque personne à reconnaitre ce qu’elle a d’irremplaçable et d’unique a n qu’elle grandisse et s’épanouisse. A l’heure où la politique a montré ses limites et où les grandes idéologies se sont effondrées, l’éducation de la jeunesse doit être repensée autrement et ne doit plus, à terme, se substituer à un diplôme, qui en réalité n’est qu’une présomption. Elle doit être axée sur de véritables moteurs d’apprentissage, faisant de l’apprenant maître d’un domaine et débouchera à coup sûr sur un savoir-faire irréprochable et un emploi sûr et certain.