Le chariot élévateur thermique existe en version gaz (LPG) ou essence. Le LPG est très prisé en intérieur : il dégage moins de fumées, chauffe peu et permet des sessions de travail longues sans coupure. L’essence, plus puissante, s’adapte mieux aux zones extérieures ou aux chantiers en terrain difficile.
Le LPG se distingue par une consommation plus stable et un coût global souvent inférieur à long terme. Les chariots à essence, s’ils offrent une bonne réactivité, demandent plus de suivi mécanique, surtout en usage intensif ou irrégulier. Un bon entretien permet de prolonger la durée de vie de l’équipement, quelle que soit la motorisation.
Ce type de chariots élévateurs séduit plusieurs domaines :
Un modèle 3,5 tonnes suffit souvent pour les usages classiques (palettes, caisses). En revanche, pour de la manutention lourde, optez pour un chariot 7, 8 ou 10 tonnes. Il gagne en stabilité, surtout sur sol irrégulier, et améliore la sécurité.
Ces environnements demandent précision et endurance. Un chariot élévateur à contrepoids LPG, mât triplex, est particulièrement adapté : il permet de circuler dans les ateliers peu ventilés, tout en assurant le déplacement de charges métalliques denses.
Dans ces secteurs, le mot-clé, c’est la fiabilité. Les chariots à gaz LPG sont appréciés pour leur capacité à fonctionner en continu. Pour les zones extérieures ou non couvertes, un modèle essence peut prendre le relais. Certains entrepôts optent pour des flottes mixtes, afin de répondre aux variations de volume.
L’humidité, les dépôts salins, les flux constants d’équipements imposent des machines robustes. Un chariot essence bien caréné, avec cabine fermée et options renforcées, garantit un fonctionnement fiable en toutes conditions. Dans le LPG shipping, la précision et la sécurité sont deux critères déterminants au quotidien.
Pour que vos équipes restent efficaces, le chariot élévateur doit assurer :
Dans certains contextes, comme les entrepôts chimiques ou les sites ATEX, votre chariot doit être conforme aux exigences de sécurité. Pensez à vérifier la conformité dès l’achat ou la location.
Un bon chariot, c’est aussi un bon suivi. Vérifiez :
Cela évite les interruptions coûteuses, notamment quand votre activité repose sur la fluidité de la manutention.
Le diesel convient surtout aux extérieurs. Le gaz LPG est apprécié pour sa propreté et sa régularité. L’essence apporte puissance mais consomme davantage.
Oui, une formation de type CACES (ou équivalent local) est obligatoire pour manipuler ces engins.
Comptez entre 15 000 et 30 000 euros selon les options, sans compter l’entretien.
Entre 8 et 10 heures par jour avec une bonne maintenance.
Une bonne sélection de chariot élévateur repose toujours sur une connaissance fine de son environnement professionnel. Entre les contraintes du tournage, les exigences de la manutention, les rythmes du transit ou les spécificités du LPG shipping, chaque secteur impose ses propres repères. Plutôt que de choisir à l’aveugle, mieux vaut miser sur des critères concrets : motorisation adaptée, capacité de levage maîtrisée, fiabilité sur la durée. Le bon choix d’équipement, c’est souvent celui qui évite les interruptions et fluidifie les opérations au quotidien.